Qui suis-je ?

Photo avec Christian Tissier Shihan – © Geoffrey Flamant

Nicolas
Rio

4e DAN UFA et Aïkikaï
DEJEPS

Mon parcours

Je découvre l’aïkido en 2001. Ne pouvant m’inscrire pour des raisons personnelles, j’ai pris l’habitude de venir voir l’entraînement toutes les semaines. Très rapidement, j’assistais à tout le cours. Ainsi, j’ai passé près de deux années à observer cet art martial sans monter sur le tapis. Tout en continuant mes pérégrinations sportives, je monte pour la première fois sur les tatamis en 2003. Cette expérience en aïkido fut courte puisque, six mois après mes débuts, une importante blessure à l’épaule m’empêche de continuer la pratique. Ne pouvant me mettre à cette activité, je me suis tourné vers d’autres arts martiaux pendant deux ans tels que le iaïdo et le kendo. Ce n’est qu’une fois ma vie professionnelle lancée que je prends la décision de me faire opérer de cette épaule toujours douloureuse. J’ai enfin pu m’inscrire dans le club d’aïkido de Châlons en Champagne et démarrer véritablement mon investissement en septembre 2009 au près de Raoul Bender.

Mon niveau technique s’installe et fut validé du 1er Dan dès juin 2012 jusqu’au 4e Dan en juin 2022. Très tôt dans ma pratique, l’enseignement m’a intéressé. Cela est certainement lié à mon métier. Enseignant dans le secondaire de profession, la transmission est, à mes yeux, un outil essentiel à la progression personnelle, mais surtout, au développement de l’aïkido. Je passe donc mon Brevet Fédéral en 2016.

D’autre part, je me suis mis à suivre de plus en plus de stages, d’enseignants divers et variés, issues de différentes écoles ou fédérations. Ce développement technique m’a également permis d’observer leurs approches andragogiques et pédagogiques. Aujourd’hui, je suis régulièrement Christian Tissier Shihan, Micheline Vaillant-Tissier Shihan, Fabrice Croizé Senseï et bien d’autres encore.

C’est en 2024, au terme d’une longue année de travail, à raison de plusieurs heures par semaine, 180 pages rédigées et des actions menées en Champagne et en Lorraine, que je me vois octroyer le DEJEPS par la voie de la VAE.

Mes envies

Des projets, voilà ma motivation première. Sans pouvoir tous les exposer ici, voici au moins les directions que j’essaye de suivre :

  • Permettre à mes élèves d’avancer et de progresser ainsi qu’à tous les pratiquants que je pourrais croiser. Soyons honnête, c’est aussi la meilleure façon pour moi de progresser également.
  • Accompagner les jeunes enseignants pour que, à leur tour, ils puissent construire des projets et s’investir pour les prochaines générations.
  • Développer la pratique des armes, fondamentales pour tous les pratiquants